Carte Blanche au festival international du court métrage

Préparez vous à rentrer dans les salles obscures les vendredi 3 et samedi 4 juin avec une série de courts métrages au Centre Français de Berlin ! Cinéphiles, vous ne serez pas déçus puisque le meilleur festival au monde du court métrage est à l’honneur au Centre Français de Berlin ! Sortez les pop-corn euh non pardon la Berliner Kindl ou le Club-Mate et installez vous confortablement dans les sièges du Centre Français ! Mesdames et Messieurs, le spectacle peut maintenant commencer !

Week-end p’tit écran pour toute la famille

France, Australie, Allemagne, Nouvelle-Zélande… voici un aperçu de la nationalité des nombreux courts métrages auxquels vous aurez droit lors du Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand. Et qui à dit que court métrage rimait avec cinématographie adulte ? Les petits aussi, ont droit à leur moment devant le petit écran. Si vous ne savez pas comment occuper vos enfants, durant la journée pourquoi ne pas les emmener voir le Hareng Rouge ? Amusement garanti pour les lambins, devant cette comédie finlandaise où des pingouins ont les yeux plus grands que le ventre. Ou si les pingouins ne sont pas assez drôles, tournez vous vers les singes avec La Loi Du Plus Fort. Un court métrage Franco-Belge dans lequel des singes rentrent en conflit pour une banane.

Du côté des plus grands, quoi de neuf ? Tout d’abord, on vous dirait qu’on à hâte de voir Ghost Cell. Film d’horreur ? Désolé mais vous n’y êtes pas du tout. Il s’agit d’un film scientifique, documentaire et même d’une ballade sur Paris. Une manière originale voire complètement insolite, de redécouvrir la capitale française au travers d’un microscope virtuel. Court métrage signé par le réalisateur Antoine Delacharlery. Au menu également, l’œuvre de James Cunningham, permettant aux spectateurs d’assister à l’appréhension des opossums face au plus dangereux des prédateurs : l’Homme. Aussi réaliste enfin ça c’est vous qui en jugerez, le projet de Joost Lieuwma et Daan Velsink du Danemark. Avec Panique, il est très difficile de ne pas s’identifier à Marja. Celle-ci angoisse, à l’idée de savoir si elle a bien fermé la porte, le robinet et cela va même jusqu’au gaz.  Forcément, ses troubles prennent des proportions inimaginables.

Très clairement on ne nous laisse pas le choix. Entre la qualité du contenu proposé par les courts métrages et le lieu chaleureux du centre Français, vous pouvez être sûr de rentabiliser votre soirée !

V.L.

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